Un ami de Sandra

Catégories : Fist dilatation extrême Sodom Trio libertin
il y a 3 ans

La table de chêne semblait provenir d'un autre temps. Rugueuse, parcourue de stries disparates et parsemée de trous témoins du passage de colonies de termites, elle dénotait quelque peu au milieu des meubles modernes de l'appartement. De hautes chaises aux accoudoirs de bois travaillés et au dossier recouvert de velours rouge l'encadraient et complétaient ce tableau baroque. Une large porte fenêtre laissait passer la lumière déclinante de cette fin d'après-midi. D'où j'étais, je n'apercevais que quelques toitures de zinc surplombant les immeubles mitoyens. Les bruits de la rue ne me parvenaient que de manière sporadique, étouffés qu'ils étaient par l'isolation phonique.

J'étais allongée sur cette table depuis un bon moment. Je ne saurais aujourd'hui dire depuis combien de temps. Suffisamment en tout cas pour avoir eu le temps de détailler avec précision ce vaste salon. Mes poignets étaient attachés aux pieds de la table par de longs foulards de soie rouge. En inclinant ma tête vers la gauche, je pouvais apercevoir l'embrasure de la porte à moitié fermée. D'une pièce lointaine parvenaient jusqu'à moi des voix familières. Celles de Sandra et Stéphane. Il ne servait à rien que je les appelle, ils ne viendraient pas. Pas maintenant. Plus tard. Pour le moment, ils étaient occupés à faire l'amour.

Les bruits que j'entendais ne me laissaient aucun doute la dessus. La voix chevrotante de Sandra quémandant un effort supplémentaire à Stéphane et les ahanements de ce dernier me permettaient d'imaginer la scène comme si je l'avais eu devant les yeux : Sandra à quatre patte sur l'épaisse moquette de la chambre et Stéphane à genoux entre ses jambes la besognant sans vergogne. Cette pensée me stimula. J'eu du plaisir à entendre Sandra prendre le sien. Pour ma part, il me fallait patienter. Mon chemisier blanc laissait transparaître mes seins aux tétons déjà dressés. Une petite jupe noir à volants recouvrait ma toison rouge. Des bas de soie noirs tenus par un porte-jarretelles habillaient mes jambes terminés par des escarpins de cuir gris foncés. Les cris de Stéphane et Sandra me firent raidire les muscles des jambes. Je les levais pour mettre en appui les escarpins sur le plateau de la table et écartais mes cuisses. Je sentais la moiteur m'envahir. Comme j'aurai voulu pouvoir me caresser.

Les bruits cessèrent bientôt et le calme s'installa de nouveau dans l'appartement. La porte fût poussée et Sandra apparut dans la pièce. Presque nue, essoufflée, en sueur, les cheveux collés sur les tempes, elle s'approchait de moi perchée sur de grandes cuissardes noires à hauts talons. Sa poitrine et son ventre était maculé de sperme. Elle me souriait. Arrivant à la table, elle s'assit sur la chaise près de ma tête. Se penchant vers moi, elle contempla mon corps, se pencha vers moi et m'embrassa fiévreusement. Sa langue s'enroula sur la mienne. Elle se détacha de moi et basculant en arrière, elle s'adressa à moi :

-« Stéphane est un bon coup. Tu vas apprécier de faire sa connaissance, Marie. »

Elle ramassa entre ses doigts un peu de sperme qui coulait entre ses seins et le porta sur ses lèvres. Elle m'embrassa à nouveau, m'enduisant la bouche et la langue de la semence de Stéphane. Sa main droite glissa sur ma poitrine, titilla mes tétons et fila entre mes jambes ouvertes. Elle caressa mon pubis et l'intérieur de mes cuisses.

-« Pourquoi ne me détaches-tu pas Sandra ? »

Elle rit.

  • « Ne t'inquiète pas, tu vas adorer. »

Stéphane survint sur ces entre faits. Nu, le sexe repu et luisant de foutre, il s'approcha de Sandra et me regarda. Il l'embrassa.

  • « Alors Marie, pas trouver le temps trop long ? » me questionna-t-il.

  • « Non, ça va. »

Stéphane fit le tour de la table en laissant traîner ses mains sur mon corps. Il finit par s'asseoir sur la chaise du bout de la table. Il regardait mon entre cuisse.

  • « Hum, Marie nous a entendu pendant que nous baisions, Sandra. Sa chatte est toute humide. »

  • « La pauvre. » fit mine de s a n g loter Sandra. « Il faut la consoler. »

Stéphane mit ses mains sur mes chevilles, les emprisonna et m'attira à lui en me faisant glisser sur la table. Il rapprocha sa chaise de la table. Mes fesses étaient au bord du plateau. Il prit mes mollets et les posa sur le haut du dossier de la chaise. Il caressa l'intérieur de mes cuisses et retroussa la jupe sur mon ventre. Sandra ne bougeait pas. Je mouillais de voir cet homme que je connaissais si peu assit entre mes jambes ouvertes et regardant tel un gynécologue mon sexe offert. Il plongea sa tête entre mes cuisses. Je sentais sa langue parcourir mes lèvres et mon clitoris. Je fermais les yeux, savourant ce moment intense. Ma poitrine se soulevait, mon cour s'emballait. Il suçait mon sexe avec délicatesse, jouant avec mes plis intimes. Je perçus d'abord le bruit de l'arrachement de mon chemisier. J'ouvris les yeux pour voir Sandra qui tenait les pans de tissus dans ses mains. L'air frais de la pièce glissa sur ma poitrine libéré du frottement de la soie. Elle me regarda, sourit, tourna les talons et s'éloigna. Je regardais son cul magnifique surplombant ses jambes gainés de cuir s'en aller.

Les caresses buccales de Stéphane me plaisaient beaucoup. Pour mieux accueillir sa langue qui survolait mon sexe, je me cambrai au maximum tirant par ce fait sur mes liens de soie. Stéphane ne s'en aperçut pas, occupé qu'il était à déguster mon corps et à laper ma mouille qui s'échappait de moi.

Sandra revint dans la pièce. Elle portait deux objets dans ses mains. Je la regardais incrédule. Dans sa main droite, elle tenait un énorme gode de métal brillant. L'engin de forte dimension et de diamètre non moins conséquent se terminait par une plaque de laquelle partait deux lanières de cuir. Dans l'autre main, elle tenait ce qui ressemblait à une plume blanche d'autruche. Elle me montra alternativement les deux objets :

  • « Le plaisir et le plaisir. Un même but par deux chemins différents »

Stéphane interrompit son cunnilingus et se redressa. Pas une fois il ne m'avait pénétrée de sa langue, se contentant de visiter les abords de mon sexe. Sandra lui tendit la plume et retourna vers la chaise qu'elle occupait précédemment près de ma tête. Stéphane retira mes jambes du haut du dossier et les laissa pendre le long de la table. Mes fesses en équilibre au bord, je ne tenais que par les foulards rouges qui me liaient aux pieds de la table, à l'autre extrémité. La tension sur ces liens me cisaillait les poignets. J'essayais de me redresser mais n'y parvins pas. Stéphane était debout et tournait autour de la table. Il laissait par moment la plume caresser mon corps. Chaque contact de ma peau avec la plume me provoquait des ondes de plaisirs. Je gémissais doucement à chaque fois.

Sandra me présenta le gode de métal devant les lèvres. Trop gros pour que je le prenne en bouche, je me contentai de le lécher. Elle appuya sur mes lèvres m'invitant à ouvrir la bouche. Je tentai de le sucer comme je le pouvais. Stéphane me retira un de mes escarpins. Il attrapa une bouteille de champagne qui se dressait dans un sceau, l'ouvrit et versa du champagne dans la chaussure. Il posa la bouteille. Sandra sortit le gode de ma bouche et se tourna vers Stéphane. Il approcha l'escarpin de sa poitrine et racla du bord de la chaussure les coulées de son sperme qui restaient sur le corps de Sandra. Il descendit la chaussure vers son vagin et fît de même pour recueillir sa liqueur.

Sandra écarta les cuisses pour faciliter l'opération. Il redressa l'escarpin et touilla le mélange avec un doigt. Il s'approcha de ma tête, d'une main me redressa en me tenant par la nuque et me présenta l'escarpin devant la bouche. J'ouvris les lèvres et je bus le mélange de champagne, de sperme et de mouille. La fraîcheur me remplie la bouche. Il retira l'escarpin, attrapa le gode de métal et versa le mélange dessus. Il s'agenouilla devant le fauteuil précédemment occupé par Sandra et fixa le gode à la chaise. Enserrant le siège des lanières, il laissa le gode fièrement dressé à la verticale. Il revint vers moi. Il m'approcha la tête de son sexe. Encore mou, il n'était plus aussi pantelant que lors de son entrée dans le salon. Je commençai à lécher son gland bien rouge et à aspirer les traces de sperme qui le maculait. Tournant de la langue sur sa calotte, je laissai glisser mes lèvres sur son membre encore flasque. Ne pouvant cependant trop bouger du fait des liens, c'était Stéphane qui en imprimant un mouvement de va et vient, faisait entrer et sortir son sexe de ma bouche. Mes yeux se posaient alternativement sur son visage et Sandra.

Cette dernière, tout en nous regardant, était montée sur les accoudoirs du fauteuil occupé par le pieu de métal. Elle laissa glisser ses cuissardes de part et d'autre du fauteuil pour finir par positionner son sexe juste au dessus du gode. Sa langue courrait sur ses lèvres en me regardant aspirer la queue de Stéphane. Au fur et à mesure de ma fellation, cette dernière retrouvait une consistance enfin digne. La sentir grossir et vibrer dans ma bouche me plaisait beaucoup. La vision de Sandra prête à s'empaler sur cet énorme pieu aussi. Je sentais mon bas ventre trempé de désir et d'envie. Lentement, elle descendit sur le mât d'aluminium. Le bout oblong toucha ses lèvres et commença à disparaître en elle. Elle procédait doucement et méticuleusement, effrayée sans doute par les dimensions de l'objet.

Le sexe de Stéphane me remplissait à présent la bouche et chaque poussé de sa part envoyait son membre taper le fond de ma gorge. Je le suçais avidement, levant les yeux pour regarder son visage et apercevoir le résultat de mon travail. Sandra, en arrière plan commençait à véritablement s'empaler sur l'énorme objet de métal brillant. Je voyais son visage convulsé par l'effort de dilatation que demandait l'intromission du gode. Ses yeux révulsés témoignait de l'intensité de l'action. Contrainte de freiner la descente sur le pieu du fait de son diamètre, elle était obligée de maîtriser les muscles de ses jambes que je devinais pourtant flageolantes.

J'entendais le froissement du cuir de ses cuissardes aux pliures de ses genoux et ce bruit m'excitait de plus en plus. Je savais le jeu auquel elle s'adonnait particulièrement risqué. Si par malheur elle ne contrôlait pas ses appuis, elle glisserait d'un coup sur le monstrueux mât qui la déchirerait sans coup férir. Elle avait avalé le tiers du gode, écartelée par ses appuis sur les bras du fauteuil. Ses jambes et ses bras tremblaient tandis qu'elle se mordillait les lèvres et poussait des cris où souffrance et plaisir se mélangeaient.

Stéphane utilisait à présent ma bouche comme un sexe. Il laissait ressortir sa queue jusqu'à laisser son gland sur mes lèvres, puis il replongeait doucement entre mes dents en allant le plus loin possible. J'étais très excitée par cette fellation et la vue de Sandra. Jugeant son sexe suffisamment rigide, il retira son membre de ma bouche et m'embrassa. Il fit le tour de la table et resta debout entre mes jambes. Il regarda Sandra en caressant mes jambes.

Sandra était au bord de l'évanouissement. Elle chavirait de douleur et de plaisir. Couverte de sueur, elle s'était transformée en une fontaine de cyprine et d'urine. La base du gode était luisante et le tissu de la chaise trempé. Stéphane me souleva les jambes qu'il posa sur ses épaules. Il approcha son gland de mon sexe, tourna autour, flatta mes lèvres et s'enfila lentement en moi. J'attendais ce moment depuis si longtemps ! Je me cambrai pour mieux le recevoir, tirant sur mes liens de soie à m'en faire mal au poignet. Mon vagin trempé d'envie n'opposa aucune résistance à sa poussée. Je sentis bientôt ses couilles tapés contre mon aine.

Il commença à me besogner sans retenue. Il sortait et entrait son membre a allure régulière. Je sentais la collerette de son gland racler mon ventre. Il se pencha sur moi, appuyé sur mes cuisses pour embrasser mes seins, lécher mes tétons. Il les mordilla légèrement m'arrachant un gémissement. Il tourna la tête et regarda Sandra. Sa vue l'excita davantage, sa poussée se fît plus rude dans mon ventre.

Sandra était emmanchée au maximum. Elle ne pouvait descendre plus bas coincée qu'elle était par ses jambes sur les accoudoirs et la dimension du pieu en elle. Son visage défiguré par le plaisir et la souffrance était baigné de transpiration. Son corps ondulait lentement de gauche à droite comme pour tenter de gagner quelques millimètres hypothétiques. Las, peine perdue, elle s'arque bouta sur ses cuisses et s'aidant de ses bras tremblant, elle réussit à s'élever de quelques centimètres. On l'entendait ahaner sous l'effort. Fourbue de plaisir, comblée par le gode qui lui arrachait les entrailles, elle se laissa à nouveau tomber, ce qui lui provoqua un nouvel empalement non contrôlé. Jetant la tête en arrière, elle poussa un cri qui se transforma en râle et s'affala contre le dossier du fauteuil incapable de bouger.

Stéphane sortit son sexe de mon vagin. Il m'attrapa par les hanches et m'aida à remonter quelque peu sur la table. Il me retourna et me mit en appuie sur les genoux. Il grimpa sur la table derrière moi. Je l'entendais qui se masturbait. Il approcha son gland de mon anus et doucement insista pour me pénétrer. J'écartai les cuisses le plus possible et me cambrai pour le recevoir. La douleur se fit plus présente au passage de son gland. Il poussa régulièrement sur sa queue finissant par me sodomiser totalement. Je sentais ses couilles battrent contre mes fesses. Il se coucha sur mon dos, empoigna mes seins sans ménagement et m'attira vers lui renf o r ç a nt ainsi l'effet de pénétration anale. Je sentais son membre me labourer le ventre. En appui sur les bras, je subissais ses coups de boutoir. Il lâcha mes seins pour empoigner mes cheveux pourtant assez courts. M'agrippant la tête, il m'obligea à me redresser et à reculer sur sa hampe de chair tendue. Je couinais de plaisir, le corps parcourus de spasmes.

Sandra bascula en avant, seule façon pour elle de se libérer du monstre de métal qui lui mangeait le bas ventre. Elle se rattrapa sur une jambe puis sur l'autre. Tout doucement, elle se désemmancha du gode qui ressortait petit à petit ruisselant de cyprine. Lorsqu'elle l'eût extrait, elle tomba à genoux et resta un moment prostrée à regarder Stéphane me prendre comme une chienne sur la table du salon. Le regard vide, elle contemplait le sexe de Stéphane qui sortait et rentrait de mes fesses tandis que d'une main il ramenait à lui mon corps qu'il avait autorisé quelques secondes plus tôt à s'éloigner. Elle se redressa et vain jusqu'à moi. Elle m'embrassa passionnément. Laissant mes lèvres, elle détacha les foulards des pieds de la table et se glissa entre le plateau et moi de sorte à amener sa tête sous mon sexe. Son entre jambe sous mes yeux, j'eu envie de la pénétrer de ma langue. Comme je m'inclinai pour approcher mes lèvres de son sexe, Stéphane me reteint par les cheveux et m'en empêcha.

D'où elle se trouvait, Sandra pouvait admirer la queue de Stéphane aller et venir entre mes fesses. Elle caressa ma toison. Son corps était couvert de sueur, ses jambes et ses cuissardes de mouille et d'urine. Elle dégageait une odeur enivrante qui m'invita à m'empaler plus fort sur le membre de chair qui me parcourait. J'entendis Sandra.

  • « Et maintenant à toi ma belle. »

Je compris de suite. Je sentis le bout froid du gode de métal toucher mes lèvres.

-« Oh non, je ne pourrais.. »

Je ne pus terminer ma phrase, Sandra commençait à m'introduire le pieu dans mon vagin, faisant ainsi fis de mes prières. Je savais ne pouvoir le recevoir complètement, d'autant plus que le sexe de Stéphane occupait déjà une belle place dans mon corps. Sandra n'en avait cure. Elle continuait d'enfoncer le gode, m'obligeant à écarter les cuisses comme jamais. J'avais le souffle coupé par la présence simultanée de ce monstre froid et de cette queue vibrante qui remplissait mon anus. Stéphane me tirait les cheveux v i o l emment maintenant , m'obligeant chaque fois à m'empaler jusqu'à la garde sur son sexe. Le gode se frayait un chemin en moi poussé sans répit par Sandra. Je me sentais pleine, brûlante, au bord de la folie. Je n'entendais plus les insultes de Stéphane. Seul le s a n g qui tapait dans ma tête, la douleur de la sodomie et du gode qui pulvérisait mon intimité étaient présent.

Je sentis l'ultime impulsion que donnait Sandra, témoignant ainsi de ce que le gode m'occupait totalement. Un éclair d'orgasme me transperça le corps, m'arracha un hurlement qui fit lâcher prise à Stéphane. Je me redressai, libérant ma cyprine et mon urine sur le visage de Sandra. La langue sortie, elle tentait de boire ce mélange témoin de mon plaisir. Vidée de sensation, je m'écroulais sur elle sans retenue. Stéphane continua à me pistonner quelques instants puis il sortît sa queue de mes fesses. Sandra attrapa son membre, le branla un peu avant de voir sa semence se répandre sur mon dos et son visage à flot drus. Il tomba à genoux lui aussi reput, vidé de sa substance.

Et moi qui n'était venue que pour faire connaissance de cet ami de Sandra !

Marie

Une très belle histoire, merci beaucoup
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